Qui?

Klaas Ane Jellema

Producteur laitier

Où?

Gärds Köpinge, Suède

À propos de la ferme

  • 400 vaches
  • 250 jeunes
  • 120 vaches taries et des génisses en gestation
  • 200 hectares de terrain
  • 3 employés polyvalents à plein temps

Solutions Nedap

Nedap CowControl
Cow Locating
Heat Detection
Health Monitoring

Depuis 2013, Klaas Ane Jellema sont hébergées dans une étable équipée de 5 robots qui permettent d’éviter complètement les déplacements. Si la traite n’a d’emblée posé aucun problème, la détection des chaleurs et le suivi des vaches sont devenus sans cesse plus complexes pour Klaas Ane et ses trois employés.

La technologie de Nedap a apporté la solution. Klaas Ane : « La détection des chaleurs, le positionnement des vaches et la surveillance de leur état de santé me permettent de gagner énormément de temps au quotidien car le travail peut être effectué de manière beaucoup plus efficace. »

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Un robot est en réalité une station d'alimentation qui est également capable de traire

En 2006, Klaas Ane (47 ans), son épouse Jacomien (46 ans) et leurs quatre enfants ont déménagé en Suède. Leur ferme de 60 vaches dans la province de la Frise n’offrait que trop peu de perspectives commerciales. C’est à Gärds Köpinge qu’ils ont trouvé une exploitation de 120 vaches et dont le potentiel de développement était suffisant. À peine un an plus tard, ils géraient la traite de 180 vaches à l’aide de 3 robots Lely. C’est ensuite en 2013 qu’ils franchissent une nouvelle étape : la mise en service d’une nouvelle étable de 380 vaches, équipée de six robots.

Klaas Ane a fait construire la nouvelle étable laitière conformément à ses propres idées. Le producteur laitier souhaitaient que les robots soient entièrement accessibles, de sorte que la hiérarchie n’ait peu ou pas d’influence sur leur accès. « Je dis toujours qu’un robot est en réalité une station d’alimentation qui est également capable de traire. L’approche change complètement une fois que ce changement de perspective est intégré. Après tout, les producteurs laitiers souhaitent idéalement que les postes d’alimentation soient répartis dans l’ensemble de l’étable afin que chaque animal du troupeau puissent facilement y accéder.

« Le nombre de vaches en chaleur était tout simplement insuffisant »

Les vaches ont été divisées en quatre groupes : deux groupes de 65 génisses et deux groupes de 130 vaches laitières. Le producteur laitier se réjouit du bon fonctionnement de ce système où les vaches se déplacent librement. Les vaches sont traites entre 2,8 à 3 fois par jour en moyenne, et seuls 1,5 à 2 % de ses vaches doivent être menées manuellement au robot.

Klaas Ane et ses employés ont toutefois remarqué que la détection des chaleurs était impactée par l’augmentation de la taille du troupeau. « Mes trois employés travaillent bien, mais la détection des chaleurs est une vraie compétence. Le nombre de vaches en chaleur était tout simplement insuffisant. »

« La bonne option, tout de suite »

Pendant un certain temps, Klaas Ane a cherché à recruter une personne ayant une expertise spécifique en reproduction et fertilité, mais il n’a trouvé aucun candidat. C’est ce qui l’a décidé à opter pour un système de détection des chaleurs. Comme la reconnaissance des vaches du système Lely se base sur la technologie Nedap, la détection des chaleurs Nedap était parfaitement adaptée.

« Nous avons pu tout de suite choisir la bonne option, » explique le producteur laitier. « D’autant plus qu’il est possible de combiner l’outil de détection des chaleurs Nedap avec le suivi de l’état de santé et le positionnement des vaches. La décision a donc été très facile à prendre. C’est pratique de pouvoir ajouter une surveillance de l’alimentation et de la rumination en option, car elle permet de savoir si une vache est sur le point de tomber malade.

L’expérience du producteur laitier de l’utilisation de la technologie Nedap a été positive dès le départ. « Je sais que leur technologie est fiable. Ça marche toujours. » Début 2016, les vaches ont reçu les nouveaux colliers et le système a été opérationnel en un rien de temps. « Ce fut un énorme soulagement, » explique le producteur laitier. « Nos résultats se sont immédiatement améliorés. » Le système identifie les vaches en chaleur sans erreur. Le programme T4C-Inherd de Lely lui montre les vaches qui ont besoin d’attention et le Cow Locator (positionnement des vaches) permet de les localiser rapidement dans l’étable. Klaas Ane explique qu’il attendait un tel système depuis des années

« J’insémine toujours les vaches moi-même, deux fois par jour. Mais l’insémination de quatre vaches me prenait jusqu’à une heure. Aujourd’hui, moi ou mes employés pouvons consulter l’application sur le téléphone de l’étable pour connaître l’emplacement exact des vaches à traiter. Je peux préparer la litière et aller directement trouver l’animal. J’évite dix minutes de recherche pour chaque vache et, au vu de leur nombre, le gain de temps est appréciable. » Pour 400 vaches et 1,5 inséminations, il espère gagner 100 heures par an, soit 2 500 euros.

Le positionnement des vaches est également idéal lorsqu’il faut trouver les animaux pour les conduire au robot. Cela permet à Klaas Ane de gagner au moins une demi-heure de temps de travail par jour, qui se traduit par une économie annuelle de 4 500 euros. Grâce à ces économies, Klaas Ane prévoit d’amortir son investissement d’ici 5 ans, et cela sans tenir compte de l’amélioration des résultats en matière de fertilité. « Pour nous, l’autre avantage du positionnement des vaches est de ne pas avoir besoin de zones de séparation. Par conséquent, nous utilisons chaque mètre carré de notre étable de manière très efficace. »

Surveillance de l'alimentation et de la rumination

L’option de surveillance de l’alimentation et de la rumination est également liée à T4C Inherd. Il surveille de près les vaches signalées par l’application parce que leurs temps d’alimentation ou de rumination est en baisse. Parfois, elles se rétablissent d’elles-même. Il a toutefois la possibilité d’intervenir rapidement si ces durées continuent de diminuer. « Nous avons maintenant une idée beaucoup plus précise de la santé des animaux. Nous pouvons intervenir beaucoup plus rapidement si une vache tombe malade et nous constatons souvent une amélioration après seulement un ou deux jours. » Le producteur laitier explique que cela contribue à réduire les coûts vétérinaires.

Encore une fois, le positionnement des vaches est très pratique. « C’est simple : s’il faut 10 minutes pour retrouver une vache, on a tendance à reporter certaines tâches à plus tard. Ou alors on oublie complètement et, dans certains cas, il est tout simplement trop tard. À présent, je sais quelles vaches ont besoin d’une attention particulière et où elles se trouvent, avant même d’avoir mis les pieds dans l’étable.

La combinaison de la détection des chaleurs, de la surveillance de l’état de santé et du positionnement des vaches en particulier permet à Klaas Ane et à ses employés de gagner un temps précieux au quotidien. Klaas Ane estime que c’est le plus gros avantage du système. « Le travail peut être effectué plus rapidement et je suis capable de planifier ma journée bien plus efficacement. Je vérifie l’application deux fois par jour et je sais alors exactement quoi faire. »

« Aujourd'hui, je n'utiliserais aucun autre système »

Klaas Ane est extrêmement satisfait du système. Avec le robot de traite Lely, qui mesure la production et la conductivité du lait, le système offre une image complète avec de nombreux indicateurs. Les données sont présentées sous la forme d’un aperçu clair en début de journée et le personnel peut directement se mettre au travail. « Aujourd’hui, je n’utiliserais aucun autre système, » affirme Klaas Ane en souriant. Il prévoit également d’utiliser la détection des chaleurs pour le jeune bétail dans un avenir proche. « Nous avons connu une croissance rapide ces dernières années. Maintenant que les choses fonctionnent bien avec les vaches laitières, nous voulons également perfectionner d’autres secteurs de l’entreprise. »

Klaas Ane Jellema gère une exploitation laitière en Suède comprenant 400 vaches et parmi elles, plus de 330 sont traites. À ce troupeau s’ajoutent 250 jeunes. Le bétail jeune se trouve dans une grange à litière profonde jusqu’à l’âge de 18 mois. Une troisième étable héberge 120 vaches taries et des génisses en gestation. L’entreprise possède également 200 hectares de terrain. L’ensemble de la charge de travail complète est assurée par Klaas Ane et trois employés polyvalents à plein temps.